Les jeunes pourraient bien passer jusqu’à vingt-cinq années de leur vie sur leur téléphone portable si la tendance liée à nos usages numériques ne change pas.
Fluid Focus, une application destinée à maitriser son temps d’écran, a interrogé 2 800 étudiants britanniques sur leurs pratiques numériques. Plus de trois étudiants sur quatre ont indiqué que l’usage du smartphone nuisait à leurs études et autant ont déclaré des effets négatifs sur leur santé mentale. Plus de la moitié d’entre eux disent avoir du mal à trouver le sommeil notamment à cause du scroll nocturne.
Un motif d’espoir cependant, il sont 68 % à vouloir réduire leur usage du téléphone portable et des réseaux sociaux. Les acteurs de l’économie de l’attention risquent de ne pas être d’accord.